jeudi 17 juillet 2014

Communiqué de Gilles Lebreton 2/2

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Le mépris de Martin Schulz

Communiqué de Gilles Lebreton, conseiller politique de Marine Le Pen, Député Français élu au Parlement européen

             
Le 16 juillet 2014, le président du Parlement européen, le socialiste allemand Martin Schulz, a attaqué Marine Le Pen en séance plénière en déclarant à la tribune qu'il "comprenait parfaitement" un député communiste grec qui venait de la diaboliser.
          
 Il a ainsi violé, dans l'indifférence générale, l'article 11 du règlement intérieur du Parlement européen qui prescrit le "respect mutuel" des députés.
            Triste spectacle d'un président incapable de tenir son rang, et d'un pseudo Parlement majoritairement composé de valets de l'ultra-libéralisme mondialisé.
Ces apprentis oligarques ne méprisent pas seulement les députés du Rassemblement Bleu Marine, ils méprisent aussi le peuple : le président Schulz n'était même plus là quand le Parlement (aux deux tiers vide) a débattu du chômage des jeunes !



Communiqué de Gilles Lebreton 1/2





                                  Compromis ou souveraineté ?

"Le principe de la démocratie, c'est le compromis". Cette déclaration émane de M. Weber, représentant du PPE (auquel appartient l'UMP) au Parlement européen, qui l'a faite en séance plénière le 15 juillet 2014.

Elle est radicalement fausse. Le vrai principe de la démocratie, c'est la souveraineté du peuple. Ce que rappelle la Constitution française du 4 octobre 1958, dont l'article 2 reprend la fameuse définition de la démocratie donnée par Abraham Lincoln: "gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple."
Mais pour qu'il y ait souveraineté du peuple, et donc démocratie, il ne suffit pas d'organiser des élections, encore faut-il qu'il y ait un "peuple", c'est-à-dire une nation voulant assumer une communauté de destin.
Or ce n'est pas le cas de l'Union européenne, pseudo-démocratie qui ne repose sur l'existence d'aucun peuple européen, et qui parvient de moins en moins à convaincre les nations européennes de sa légitimité.

M. Weber a donc commis une confusion en assimilant l'Union européenne à une démocratie. "Le principe de l'Union européenne, c'est le compromis" voulait-il dire. Affirmation qui, ainsi formulée, est exacte, car en l'absence de souveraineté du peuple, seul un système de compromis incessant peut sauver provisoirement une union artificielle que les nations européennes finiront par congédier.

Gilles Lebreton                                                                                                                                                      
Député français (NI) au Parlement européen

dimanche 13 juillet 2014

La lettre du Front - 11 Juillet 2014


LA FAUSSE « DROITE FORTE » BIENTÔT VRAIE « DROITE MORTE » ?
 
 
La "droite forte" était cette motion arrivée en tête du dernier et cataclysmique congrès de l'UMP. Si elle montrait une envie sincère des adhérents et militants de l'UMP de renouer avec la fermeté en matière d'immigration et d'insécurité, elle n'était jamais qu'une caution portée par les petits VRP du Sarkopéisme pour tenter d'attirer à eux les électeurs du Front National.
Pur gadget marketing et cosmétique, ce courant a été créé par Guillaume Peltier, ex-FN-MNR-MPF, et Geoffroy Didier, fils spirituel de Brice Hortefeux. Pseudo-garants de la fermeté et des valeurs de la droite auto-proclamée "Républicaine", ils ont pourtant tout accepté des dérives de l'UMP en la matière : une politique ultra-laxiste en matière d'immigration - sans remise en cause ni de l'AME, ni des naturalisations de masse, ni de l'ouverture des frontières - mais aussi la fin de la double peine qui permettait la reconduite à la frontière des criminels et délinquants étrangers.
Aujourd'hui, cette motion et ses défenseurs coulent en même temps que l'UMP et la nostalgie de Nicolas Sarkozy. Empêtrée dans un scandale politico-financier majeur et une crise de leadership historique, l'ancienne majorité vit probablement ses dernières heures sous cette forme. Pour nos compatriotes, avec la fin d'une opposition mainstream de façade, il ne restera que la seule alternative réelle, fiable, intègre et crédible, celle que nous incarnons et qui chaque jour fait la preuve supplémentaire de sa sincérité, de sa force et de ses compétences.
Les prochaines échéances électorales s'inscriront dans les prémices d'une campagne présidentielle majeure et peut-être charnière. Nous devons être prêts pour de futures responsabilités, les Français l'espèrent, l'attendent et le provoqueront.
 
 
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Steeve Briois
Secrétaire Général du Front National